Tales of Noerphilie
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 Du sang, de l'or et la Mort [Clos/Ancien]

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Arthadel
L'Ombre du Démon
Arthadel


Messages : 43

Date d'inscription : 09/08/2009

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MessageSujet: Du sang, de l'or et la Mort [Clos/Ancien]   Du sang, de l'or et la Mort [Clos/Ancien] Icon_minitimeJeu 13 Aoû - 0:05

Une sombre ruelle, silencieuse et vide de toute présence. Un corps inerte et sans vie, des habits déchirés et une dague couverte de sang planté dans le coeur. Une grande Katana posé dans une main froide et immobile. Une visage vide d'expression, du sang dégoulinant sur le côter, de court cheveux d'un noir ténèbreux. Des bruits de pas se firent entendre, puis ensuite des paroles, des gemisment d'un homme apeuré et le ton calme mais dur, d'un homme qui s'exprimer avec un language noble, sûrement une personne importente. Trois homme finirent pas s'arrêter à quelques pas du corps. Un petit homme, tremblant de tous ses membres, tête baisser, il regardait avec une grande crainte une autre personne. Celle-ci n'était pas plus grand que la vermine peureuse, mais il était bien vêtu et avait une pose et un visage sur de lui, remplis d'arrogance. A ses côter, un géant de plus de 2 mètres, une longue cicatrice sur le visage, une regard fanatiser comme si il se retenait de tuer quelqu'un, c'était le type d'homme bagareur et qui obéissait tant que les ordres aller avec ses envies de meurtres. La vermine montra le corps de la main, comme si il était pas évidant qu'il se trouvait là. L'homme qui semblait être le chef regarda avec dégoût la vermine et parla avec un ton calme et détacher, comme si la situation était banale, ce qui devait l'être pour lui.

- Alors c'est cette pourriture qui a essayé de nous voler il y a deux jours?

- ou, ou... oui, messieurs.... c'est bi.. bien lui....

- Vu comme le chef en parlait, je pensais qu'il était redoutable, ce n'est enfin de compte pas le cas...

D'un mouvement rapide le corps se releva, et donna un coup précis à la gorge du géant, pour ensuite se retourner face au chef qui était en train de sortire son sabre de pirate. Il attendit qu'il l'attaqua, il lanca avec confiance une attaque en diagonal, l'ancien cadavre évita le coup et pris le bras droit de l'opposant, il le brisa net en faisant pivo avec son articulation. Le chef hurla de douleur, lâchant son sabre à terre, mais il y avait personne qui se préoccupé d'un quelconque hurlement, on était dans la ville des pirates, les meurtres étaient quotidiens à chaque coin de rue. L'homme au bras brisé s'ecrasa contre le mur et d'un regarde remplis de terreur, il bégaya.

- Que... que, qui êtes-vous donc!

L'homme s'approcha du visage de l'homme abattu. Il affichait un visage calme, même amuser. Il prit le chef au niveau de la gorge et murmura quelques mots a son oreille: "L'ombre du Démon". Le chef gémit et un son sec se fit entendre, d'un nuque rompu. Arthadel se retourna alors face a la Vermine et lui lança avec nonchalance une bourse d'argent. Se peut d'argent n'intéresser pas Arthadel, mais pour cette crapule c'était un trésor. Mais Arthadel était bienveillant aujourd'hui, habituellement il l'aurait tuer. Arthadel secoua la main et la vermine partir prestement. Celui-ci étaint content, mais il savait pas qu'il allait bientôt mourir. Il avait mentit et tromper les pirates du secteur. Arthadel fouilla le corps du chef et retira une bague et une document, il les mit dans ses habits. Arthadel observa les alentours, puis il commença à grimper le long du mur pour finir par se poster en haut de la maison. Arthadel passa paisiblement du toit d'une maisons à l'autre. Il fini par s'arrêter et il se posa là, sortant sa pipe et fuma tout en méditant sur ses prochaines actions.


Dernière édition par Arthadel le Lun 2 Nov - 18:55, édité 3 fois
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Arthadel
L'Ombre du Démon
Arthadel


Messages : 43

Date d'inscription : 09/08/2009

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MessageSujet: Re: Du sang, de l'or et la Mort [Clos/Ancien]   Du sang, de l'or et la Mort [Clos/Ancien] Icon_minitimeMar 18 Aoû - 15:04

Un homme marchait dans un rue sombre, marchant d'un pas vif mais décontracter. Il arriva devant une lourde porte en chêne, cette homme était vêtu d'un manteau descendant jusqu'aux chevilles, avec une capuche couvrant d'ombre son visage. L'homme tapa a trois reprise la porte, puis une petit fenêtre s'ouvrir, un pirate au regarde menaçant grogna quelque chose. l'inconnu leva la main et lui présenta une bague, le pirate regrogna mais ouvrit la porte. Dans un grinçement sourd, la porte laissa place à une grande pièce, au moins 200 m². Longue de plus de 20 mètres, remplis de tables où les pirates Mange, boive et on des discusions animé. Au fond de la salle ce trouve une scène pour des artistes, mais vide. Sur le côté, un bar et une porte denant sûrement sur les cuisines et plus loin dans un coin sombre se trouve une trape sombre. L'inconnu traversa la pièce passant rapidement entre les tables. d'un coup il sentit une pression sous sa gorge, une dague! Il s'était fait avoir, mais sans sentire son opposant?... A coup sûr un assassin experimenté, des pirates en armes se rassemblèrent autour de lui, c'était clairement une piège prémédité. L'assassin accentua l'étreinte de la dague à l'approche d'un homme d'une grande élégance, à sa demarche c'était sûrement lui le Seigneur des pirates du secteur. "Seigneur" c'était puéril il n'avait qu'a peine 60 hommes sous ses ordres. Il s'approcha de l'homme pièger avec une visage arrogant et détendu. Il parla avec une voix calme.

- Alors c'est toi le "Grand" assassin?... je pensais pas que tu été si faible vu ta réputation, mais tu l'est sûrement pas....

Le Seigneur perdit son visage calme et reprit une expresions sérieuse. Il prit le capuchon et découvrir la tête de l'inconnu. Cela révéla un visage d'un homme, à l'expresions calme, yeux vert et cheveux court et brun. Le Seigneur constata la différence avec les indications donnés, il recula quelques pas, abasourdi. Il commença à hurler des ordres comme "aller bougez-vous bandes de chiens!" ou encore "Vous voulez mourir ou quoi!" et les pirates de la salle commencèrent à s'agiter.

---

Arthadel était là, sur une poutre étendu de tout son long en plein rêve. pourtent cela était dangereux, au moindre faux mouvement est s'était une chute de 12 mètres. Les cris de colère ou de panique d'une bonne trentaines de pirates réveilla Arthadel. Il s'étira comme de rien, comme si il était normal de se trouver dans ce genre de possition. Il se tapa un peu la tête pour se réveiller et regarda le contre-bas pour voir comment son plan de dérouler. Arthadel roula sur le côter et il tomba dans le vide, il atterri sur le sol sans bruit, comme un chat. certains pirates s'arrêtèrent choquer, Arthadel se releva et balança son bras en direction de l'assassin adverse. Celui-ci reçu une aiguille dans la gorge, au niveau de la colonne vertébrale. Il resta paralysé des nerfs de tous son corps. L'associé d'Arthadel prit la Dague de son opposant et lui trancha la gorge sans hésitation dans une giclé de sang. Arthadel posa son long Katana Tenrô contre une table et sortit deux Dagues, il ferma ses yeux et expira, prêt à utiliser son pouvoir. Il se téléporta dans l'espace derrière chaque pirates, leur tranchant divers points vitaux, cela dura à peine 20 secondes. La salle entière était remplit de cadavre et de sang, la mort elle même était venu ici bas pour voir se spectacle jouissif et récolter les esprits tourmentés par leur mort. Il n'y avait plus que 3 personnes dans la salle, anciennement base du clan du secteur. Arthadel et son alliée, ainsi que le Seigneur des pirates, le visage déformé par la rage. Il commença à hurler des banalités dans ce genre de situations.

- Comment avez-vous osez? Assassins, vous allez subire ma puissance et ma force vengeresse

Le chef des pirates amorça son sort arcanique, rassemblant son énergie dans ses paumes. Arthadel ouvrit une brèche dimensionnel sous les pieds du pirate qui y tomba, le sort bien que inachevé partit vers le plafon qui explosa et s'effrondra à moitier. Arthadel traversa la salle avec nonchalance, écrasant de temps en temps un cadavre ou deux. Il arriva devant la trape et disparu pendant 2 minutes et resortit avec un objet dans une boite.

- boris, ton argent est dans cette cave, prends ce que tu veux

Arthadel reprit Tenrô et sortit du batîment qui allait bientôt s'effrondrer. Il marcha dans une des ruelles sombre et silencieuse de cette ville, couvert de sang. Quand il sentit un aura. Arthadel posa sa main sur une de ses dagues, prêt à la lancer sur un opposant futur. Mais il fit comme de rien et parla d'une voix calme mais sur un ton menaçant.

- Qui êtes-vous?

Arthadel se rendit compte qu'il était sur le point d'engager une conversation amical avec un inconnu alors qu'il était couvert de sang de la tête au pied. Entre nous soit dit, on peut largement imaginer ses conversation "non-amical".
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Èveline Del

Èveline Del


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Prénom du personnage : Èveline
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Pouvoir du personnage : Maîtrise de l'Air
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MessageSujet: Re: Du sang, de l'or et la Mort [Clos/Ancien]   Du sang, de l'or et la Mort [Clos/Ancien] Icon_minitimeJeu 3 Sep - 0:58

Un corbeau croassa sur une canne à pêche, le fil de cette dernière décrivant des rides sur la surface calme et prospère de l’eau. Les poissons nageaient paresseusement, de petits éclairs argentés signalant leurs présences sans histoire, le bourdonnement de quelques insectes stoppés de ci de là par la faim de l’oiseau noir. La canne était accrochée au bastingage, ne remuant d’aucune activité. Au fond du petit bateau de pêche, une silhouette dormait sur une couverture épaisse de laine, bercée par quelques vaguelettes amicales. Une brise chaude et câline soufflait, l’oiseau secouait ses ailes pour mieux se laver les plumes, alors que la personne qui sommeillait au soleil tentait lentement d’ouvrir les yeux, son corps si bien reposé qu’il n’y avait aucun doute sur le confort de l’installation…

Une ancre moyenne retenant l’embarcation au fond de l’eau, contournée par quelques petits poissons colorés. De bruit d’entre choc et un long soupire plus tard révéla une jeune femme qui se levait, n’aillant pas grand-chose à faire d’autre que de s’étirer avec contentement. Qui se souciait des pêcheurs ? Un pirate devait sans doute s’intéresser à plus palpitant que de piètres prises à l’odeur marine et les volatiles friands de chaire fraîche qui voletaient au dessus de sa tête. La pensionnaire sourie, s’étirant une deuxième fois de tout son long, pour se pencher en ramassant ses effectifs. Dague, arc, flèche…
La demoiselle n’avait pas d’autre chose à faire aujourd’hui, et depuis quelques jours, qu’à s’entraîner au tir à l’arc en visant les habitants de la mer. Il suffisait d’attacher une corde après la flèche… et d’attendre le bon moment pour décocher.

Les premières tentatives n’avaient pas été très fructueuses, mais à mesure qu’elle rejetait ses prises dans l’eau, des bêtes plus grosses, sans doute charognards, ainsi que quelques crustacés attirés par la pourriture, s’était aventurés près d’elle. Les cibles étaient plutôt diversifiées, c’était agréable. Et puis elle ne gaspillait pas vraiment, selon elle, à la vitesse ou le courant emportait les morts et les gourmands s’en appropriant les droits de consommation.
En tant qu’exercice matinale, ce n’était vraiment pas fatiguant. Et ça lui faisait un déjeuné gratuit… elle n’était pas en amour avec le poisson crue, mais ça avait l’effet escompté, et elle n’osait sûrement pas faire un feu sur une surface de bois. Ça non…
M’enfin, le pire était sans doute les arêtes, qui pouvaient se dissimuler dans les morceaux les plus traites. Aussi la demoiselle prenait soin de pêcher les poissons qu’elle avait aperçu dans les marchés, non loin. Pas question de s’empoisonner…

Bien entendu… avant de partir, elle avait fait provision de pomme bien de chez elle. De quoi gaver un esprit en manque de consistance et de goût. Mais passons.

L’eau était turquoise, un paradis de couleur et de vie. Pensait-elle en ramenant sa flèche, une prise embrochée grouillant encore. Constatant son amélioration, elle enleva la bête et la remit dans un « plouf! » à l’eau, simplement… le temps était divisé. Le soleil parfois ce couvrait rapidement de nuage et revenait soudain, laissant une drôle d’impression de va et vient lumineux.

C’est quand Ève leva les yeux au ciel que son regard tomba sur un amoncellement de nuage couleur plomb, à l’horizon qu’un frisson comme jamais la surpris soudain et, tel l’esprit du marin devant un cyclope, se dit qu’il était temps de rentrer à bon port, même si ce dernier était infesté à ras bord de personnages probablement sanguinaires, pervers et fourbes. On parlait de pirate, quand même… Ève se doutait bien que ça ne pouvait être de gentils stupide. Noerphilie était trop… différent pour avoir un aspect onirique de ce genre. On était loin de Peter Pan…

Montant l’ancre, roulant le fil, elle s’assit au milieu et, de ses bras qui allait sans doute afficher un bronzage de zèbre, elle rama jusqu’au port.

*


La température était humide, mais contre toute attente, aucun éclair ni pluie ne venait voiler la place. Le ciel se contentait d’une masse informe, grise foncée et menaçante. Ève aillant délaissée la pêche, elle se promenait maintenant dans les rues avec une main sur la garde de son poignard, l’arc sur son dos. Elle sentait bien les regards pesants, maladifs et saouls de certain pirate. Mais d’autre avait une lueur vive dans l’œil qui ne lui inspirait rien de meilleur. Les lanières de cuirs qi parsemaient son corps n’en démordaient pas et restaient en place, fidèles…
Le vent était levé, soufflant sans arrêt, avec force et entêtement, sur tout ce qui se trouvait là. Le corbeau qui suivait la pensionnaire n’en démordait pas moins pour restait à une piètre distance de la jeune femme. Le tatouage de son front éclairait faiblement son visage, laissant ses yeux gris parcourir les bâtisses briller comme des perles. L’humeur du bazar était à la négociation, à la prudence et à la violence. Rien de plus normale pour des lieux dangereux où butins diverses faisaient offices de marchandises. Règlement de compte n’était sans doute pas chose rare, ici.

S’aventurant dans quelques dédalles aux allures délaissées, pour avoir du calme et une vue d’ensemble, la demoiselle marchait d’un pas lent, prudent.

Quand le bruit de la place s’estompa peu à peu, elle se sentie rassurée. Une odeur de vieille vidange et de pot de chambre dont on avait jeté le contenu par la fenêtre dans les caveaux régnait. Quelques bruits sourds venaient des bâtiments formant des ruelles entre eux. L’oiseau croassa, battant des ailes, s’élevant vers la nuit au fond du petit passage, sa couleur se fondant dans le décor, soudain inexistant.

Dans sa seconde main, son sac de pomme se tenait serrer entre ses doigts, potelé. Il ressemblait à une bourse remplit d’or, ce qui n’était pas des plus intelligents dans un milieu comme celui-ci. Dans une ruelle comme celle-là.

Pour une deuxième sortie, on peut dire qu’elle n’avait pas choisie Disney land…

- Qui êtes-vous?

Elle n’eut pas le temps de répondre, de réfléchir, qu’un deuxième croassement fendit le silence qui suivit la question. Elle avait marchée jusqu’à un croisement, et soudain, immobile, elle regardait l’oiseau planer dans son champ de vision, comme un signet sur sa mort… ou une drôle de situation. Resserrant sa main sur sa garde, sortant légèrement le début de la lame, elle tourna sa langue une ou deux fois.

- Euh… Rien qui ne soit menaçant…

Ça voix n’était pas très… imposante, sûrement pas celle d’un grand combattant qui en avait vue d’autre. Le volatile se percha sur l’exacte extrémité du pommeau de la dague, la tête curieuse, observant en haut, en bas, à gauche, à droite, tournant de manière sec, excité, scrutateur, rapide.
La jeune femme fit quelques pas de côté, se plaçant contre un mur pour mieux se défiler en cas de besoin. Elle n’avait pas une expérience net et précise d’une bagarre, mais, comme n’importe qui, elle n’allait quand même pas ce laissé faire…
Encore fallait-il que ça se produise…
L’esprit d’Ève était submergé d’hypothèse. Secouant la tête pour chasser ses idées, elle fit une grimace pour elle-même et s’enleva du mur, droite, lâcha son arme, ouvrit le sac de pomme, plongea la main dedans et en retira une, puis, dans l’absurdité la plus pure, se mit entre les intersections… et la tendit à qui voulait, bien qu’elle ne voyait pas grand-chose.
Autant prendre par surprise…
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MessageSujet: Re: Du sang, de l'or et la Mort [Clos/Ancien]   Du sang, de l'or et la Mort [Clos/Ancien] Icon_minitime

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